« Dans son ouvrage His Own Words, Selected Writings, Oxford University Press, paru en 2001, «Louis Armstrong parle en termes élogieux de la famille Karnofsky qu’il avait abondamment fréquentée dans sa jeunesse à La Nouvelle-Orléans. En effet, c’est Morris Karnofsky qui lui avait prêté l’argent pour son premier cornet et ce sont les berceuses russes qu’il entend chez eux qu’il rend responsables de son amour du judaïsme. Il dédie ce même ouvrage à son agent Joe Glaser. Sa reconnaissance vis-à-vis des Juifs s’exprime aussi par une dédicace au Dr Gary Zucker, son sauveur de l’hôpital Beth Israël de New York.»
C’est ainsi que commence l’article de Jean Szlamowicz, Juifs américains et Afro-Américains, Convergences et divergences dans le champ social du jazz, paru dans la revue Pardès en 2008.
il musicista jazz Julien Grassen Barbe (nella foto) parla della sua musica con Marc-Alain Ouaknin in Talmudiques